La confusion des paysages : divagation poétique au jardin des explorateurs
Observer l’environnement
Laisser la poésie, les mots, les émotions…. Affleurer…
Apprivoiser les moutons d’eau, dompter le vent qui nous fouette et nous demande de partir, Deviner les paysages derrière le paysage….
Magiques matriochkas
Les paysages extérieurs rencontrent leurs paysages intérieurs Et la corporéité, l’imaginaire
Entrent dans une nouvelle dimension
Sélectionner une fenêtre dans le paysage, Trouver le point de vue insolite,
Tracer son trait paysage comme une ligne liant éléments urbains, maritimes et naturels. Tel un diagramme, le paysage se pare de ses atours scientifiques et devient autre…
Rencontres, observations, écriture, exposition, transcription graphique et plastique, transformation…
Incitateurs à la création de formes artistiques hybrides…très hybrides. Le jardin des explorateurs comme terrain de jeu. Nul besoin de scène.
Ici la mer est une feuille d’eau,
Les grues comme des oiseaux géants dans les arbres…. Tant d’oxygène pour respirer
Et dans une hallucination collective, arrosoirs, théières, Aliens, girafes et dinosaures s’apprivoisent
Et derrière le paysage, un autre paysage….